🪸 Film A Grand Spectacle En Costume De L Antiquité
Fêtedu Costume. À 9h, rassemblement place de la République puis défilé jusqu’au théâtre antique. À 10h30, pré-sentation des groupes au théâtre antique (entrée gratuite) et intronisation de la 23e Reine. À 17h, hommage à la Reine, grand spectacle traditionnel aux arènes. Entrée gratuite. Lundi 3 juillet
Atravers des dessins, des costumes, des maquettes, le visiteur voyage de l’Antiquité chère à l’artiste franco-grec, né à Athènes en 1944, aux riches heures de notre temps.
Farcepaillarde au premier abord, étude sociale passionnante ensuite, sur un 17e siècle peut-être pas si éloigné de notre 21e, le film se regarde comme un spectacle enlevé et se déguste comme un de ces plats très relevés, parfois épicés dont raffolait Epicure, ce poète grec de l’antiquité, fondateur de la fameuse école qui lui a
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Dune manière générale, l’histoire grecque a beaucoup moins inspiré le cinéma que l’histoire romaine. Au contraire, la mythologie gréco-latine a suscité de nombreuses créations, notamment parce qu’elle permet aux scénaristes, aux décorateurs et aux créateurs d’effets spéciaux de laisser libre cours à leur imagination. L’inspiration
filma grand spectacle en costume de l'antiquit je reste à votre disposition pour toute question éventuelle; statique des fluides exercices corrigés pdf 1ère; question inférentielle
Letheatrum renvoie au lieu, à commencer par le gradin, dans lequel se déroulaient les représentations, qui se disaient ludi scaenici. C’est ce terme de « jeux scéniques », qui était le plus employé à Rome pour désigner le théâtre. Il renvoie à l’espace des acteurs que les spectateurs avaient sous les yeux dans le theatrum : la
CmG4O4p. 23/08/2016 à 1747, Mis à jour le 23/08/2016 à 1944 En mars 1958, Paris Match s'est rendu sur le tournage de ce qui allait devenir un monument du cinéma hollywoodien, "Ben Hur" avec Charlton Heston. Alors que sort le remake très critiqué de ce chef d'oeuvre, découvrez les coulisses du film de William Wyler dans les mythiques studios de Cinecittà à Rome. 1/21 Stephen Boyd Messala, Chalton Huston Judah Ben Hur et le réalisateur William Wyler. © GAROFALO Jack 2/21 Bras croisés, yeux dans les yeux, Stephen Boyd et Charlton Heston partagent une coupe de vin dans une scène mémorable. © GAROFALO Jack 3/21 Stephen Boyd et Charlton Heston sous le regard de William Wyler. © GAROFALO Jack 4/21 Stephen Boyd, Charlton Heston et William Wyler. © GAROFALO Jack 5/21 Charlton Heston face à William Wyler © GAROFALO Jack 6/21 Charlton Heston dans une scène dramatique face au réalisateur William Wyler © GAROFALO Jack 7/21 Charlton Heston, face à la fenêtre qui donne non pas sur la Rome antique mais sur un décor en trompe l'oeil. Assis, William Wyler. © GAROFALO Jack 8/21 Charlton Heston écoute les consignes du réalisateur. © GAROFALO Jack 9/21 Charlton Heston à contre-jour © GAROFALO Jack 10/21 Ben-Hur, le regard noir, dans sa tunique romaine. © GAROFALO Jack 11/21 L'acteur australien Frank Thring, William Wyler et Charlton Heston. © GAROFALO Jack 12/21 Charlton Heston et Stephen Boyd qui ajuste sa cape avant la légendaire course de chars. © GAROFALO Jack 13/21 Charlton Heston et William Wyler dans le char de Ben-Hur © GAROFALO Jack 14/21 Charlton Heston, souriant, lance un salut à la foule. © GAROFALO Jack 15/21 Charlton Heston noue la lanière de son casque en cuir. © GAROFALO Jack 16/21 Un figurant en costume de légionnaire photographie le tournage. © GAROFALO Jack 17/21 Un char tiré par quatre chevaux blancs précède un autre char tirés par quatre chevaux noirs. © GAROFALO Jack 18/21 Charlton Heston prend les rênes de son char. © GAROFALO Jack 19/21 Les gradins sont occupés par pluieurs milliers de figurants ravis d'assister à cette course prodigieuse. © GAROFALO Jack 20/21 Au centre de l'arène, une sculpture gigantesque. © GAROFALO Jack 21/21 La course est lancée, clou du film aux 11 Oscars. © GAROFALO Jack Dans le tonnerre des sabots du grand étalon blanc, le char à deux roues débouche sur la piste de 650 mètres qu'un chaos de planches barre au premier virage. Devant l'obstacle, la bête se dérobe. Le cocher en blue-jeans saute et dit à l'homme qui regarde Ne vous en faites pas, M. Wyler, il sera dressé à temps.» Wyler hoche la tête. Bientôt, il commencera à tourner son » Ben Hur . Tout se jouera sur la course de chars. Un quart de siècle plus tôt, elle avait ouvert à Hollywood l’ère des grandes productions. Pendant cinq ans, dans le monde entier, des centaines de millions de spectateurs avaient fait queue pour voir un beau brun en tunique romaine franchir victorieusement les chars fracassés de ses rivaux Ramon Movarro. Il devint du même coup l'idole des années lire aussi "Les Dix commandements" comme vous ne l'avez jamais vu La suite après cette publicité Comme alors, la après trois ans d'hésitation, a décidé de mettre tout le paquet ». 8 milliards, sur une nouvelle version de son film fétiche. La main en visière contre le soleil de Rome, Wyler contemple l'arène géante surgie du sol, 32 mètres de haut, 50 de large, 50 000 figurants s'y entasseront. Pas mal, même comparé au Colisée. Plus loin, la mer », 160 m sur 180, où les galères fraîchement peintes attendent la bataille navale. Il récapitule 8 mois de travail déjà , 400 acteurs auditionnés à Hollywood, 50 à Londres la veille encore, ce matin au saut de l'avion, revue de détail de son Barnum comme il appelle ça 600 décors, 50 000 costumes, 5 cages de lions, 200 chameaux, 2500 chevaux et, le plus précieux, les 61 pur-sang sélectionnés aux quatre coins du monde exprès pour la course, et les 8 caméras spéciales, d'une tonne chacune, combinant cinérama et cinémascope, toujours pour la course. Et maintenant ? Il soupire en calculant Début du tournage, 1er avril... dix mois. » Dix mois pendant lesquels il sera le roi de Cinecitta, capitale du cinéma italien, louée à 80 % uniquement pour lui et pour cette résurrection d'une très vieille histoire née des loisirs d'un fonctionnaire il y a soixante-quinze ans. La suite après cette publicité La bande-annonce du film de 1959Santa-Fe, Nouveau-Mexique, le palais du gouverneur. Parmi ses meubles coloniaux, le général Lew Wallace côtelettes » et moustaches s'ennuyait. Après quelques désastres, les Mex » avaient dû lâcher aux Yankees cette terre brûlée. Les peuples paresseux ne posent pas de problèmes, mais pour un homme du Nord, la sieste ne suffit pas à tuer le temps. Les généraux aiment l'histoire, Wallace en lisait beaucoup. Tant de gens écrivent, pensait-il ; pourquoi pas un général ? Ainsi naquit Ben Hur, roman. Succès foudroyant. Broadway s'en empare et le garde dix-sept ans au théâtre. En 1924 MM. Goldwyn et Mayer fusionnent pour le porter à l'écran. Un triomphe. Wallace est mort depuis longtemps que son livre reste le second best-seller après la Bible, une manne pour ses héritiers, pour les producteurs à court d'imagination, mais aussi chaque fois pour des milliers de chômeurs. Le teaser du remake de "Ben-Hur"Retour aux temps modernes. Rome 1958. On a dû faire appel aux jeeps de la police ils sont 20 000 qui s'écrasent aux portes de la ville des studios, venus à pied, à scooter ou par le tram bleu nommé Cinecitta ». II a suffi d'un cri On embauche pour Ben Hur! » On embauche depuis trois ans, ils n'y croyaient plus. 500 000 postes de TV et le goût des week-ends en plein air, encouragé par Fiat avec ses nouvelles 5 et 6 CV populaires, ont porté un coup mortel au cinéma italien 120 films en 1957 au lieu de 201 en 1954, plus que 70 producteurs contre 120 il y a deux ans, la moitié des salles forcées de fermer un jour par semaine, et pour le petit peuple des figurants la faim. Puis, tout à coup, cette aubaine inespérée. Ironie dans un mois, sur les gradins de la fausse arène, 50 000 ventres momentanément rassasiés reprendront la clameur célèbre de la foule romaine sous Néron Du pain et des jeux ! » La suite après cette publicité La suite après cette publicité La bande-annonce du "Ben-Hur" de 1925, déjà une superproduction Cinecitta toujours. Tard. Bureau. Dans un fauteuil. Wyler, pieds sur la table. Pour lui aussi, Ben Hur a son ironie. Cet Américain né de parents suisses à Mulhouse et qui vendit des caleçons aux 100 000 Chemises » à Paris, est un tendre. Palmarès Mrs. Minniver, Les Hauts de Hurlevent. Vacances romaines. Il a le dos large et cinquante-cinq ans, mais porter sur ses épaules tout le paquet » de la un enjeu de 8 milliards, plus fort que Les Dix Commandements, pour lui c'est lourd. En 1924. 600 millions avaient suffi, mais en ce temps-là l'enthousiasme était neuf. Aux jeux du cirque moderne, le public a tôt fait de tourner le pouce en bas pour l'arrêt de mort. Wyler soupire, va à la fenêtre, tend l'oreille et sourit dans la nuit romaine, un des fauves de son Ben Hur a rugi. Un signe ils seront deux lions pour gagner la partie — lui et celui de la Metro.
Le porteur d’histoire avait commencé sa triomphale carrière au Studio des Champs Elysées, il est de retour au Théâtre des Béliers Parisiens avec toujours le même esprit aventurier. Une troupe de comédiens et comédiennes interprètent la galerie de personnages en alternance pour rendre compte de la prodigalité de l’auteur dans une histoire mélangeant fiction et références historiques. Le spectacle est un voyage passionnant dans le temps et de l’espace qui fait chavirer l’imagination. Un tour de force théâtral Un automobiliste se perd dans les Ardennes en cherchant à rejoindre le village de son père décédé. L’histoire débute en 1988 pour s’étirer dans l’avenir et le passé au fur et à mesure des histoires racontées par un narrateur débarqué en Algérie chez une femme et sa fille. L’homme raconte une histoire, puis une autre, puis encore une autre, pour finalement narrer les tribulations d’une famille disparue depuis la révolution, les Saxe de Bourville. Difficile de résumer la profusion de références, d’Alexandre Dumas jusqu’aux croisades en passant par Eugène Delacroix. L’objectif final des multitudes d’intrigues racontées semble la recherche d’un mystérieux trésor enterré… dans les Ardennes. Les 3 comédiens et 2 comédiennes présents sur scènes endossent une large panoplie de rôles avec une facilité déconcertante, le naturel semble la règle, la fluidité est de mise, la pièce parcourt l’histoire dans les grandes largeurs, de l’Antiquité jusqu’aux âges contemporains, Alexis Michalik échafaude un récit plongé dans la grande histoire et ses nombreuses arcanes jusqu’à fasciner la nombreuse audience. Des dizaines de personnages s’accumulent sur scène, le foisonnement est incessant, ça n’arrête jamais, jusqu’à devenir palpitant et passionnant. A l’arrivée dans la salle, les spectateurs peuvent remarquer un portant rempli de costumes, ce seront les attributs de la petite troupe dans l’exercice de leur art vertigineux. La manière qu’a Michalik d’intégrer son récit dans la grande histoire fait tourner la tête, tout n’est que fiction mais pourtant chacun ne demande qu’à y croire. Il y a du Umberto Eco dans cette sagacité prodigieuse, l’entrecroisement des personnages et des récits se fait sans temps mort et avec toujours la même crédibilité. Le rythme de la pièce ne faiblit jamais durant 1h30 qui passent sans s’en rendre compte. Ce porteur d’histoires est d’une profondeur insondable, de quoi ravir les érudits autant que les fans de contes historiques et fantastiques. Une gageur! Synopsis Le Porteur d’Histoire est une chasse au trésor littéraire créée et mise en scène par Alexis Michalik l’auteur des succès Edmond, Une histoire d’amour, Le cercle des illusionnistes, Intramuros. Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Ardennes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin d’imaginer que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête à travers l’Histoire et les continents. Quinze ans plus tard, au cœur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement…
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 4,1 10614 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné 279 critiques spectateurs 5 137 critiques 4 76 critiques 3 35 critiques 2 20 critiques 1 8 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Quel beau film !Histoire, costumes, musique, acteurs ! Il dure 3 h 30 et on n'a pas envie qu'il s'arrête !4,5/5 Chef-d'oeuvre absolu ! Pour moi le plus grand film de tous les temps. Il y a tout dedans l'amour, l'amitié, la haine, la guerre, le sport et la religion. C'est à la fois un film historique et un film de l'histoire du cinéma. Avec de grands acteurs, des costumes et des reconstitutions des décors de l'époque d'une vraisemblance incroyable. Et puis une belle histoire de solidarité entre Juifs et Arabes... Magnifique grandiose inégalé. Jamais film n aura été aussi abouti, dans l histoire de la vengeance d un homme. Certes le film a vieilli mais qu importe tant c est le récit qui l emporte sur les effets spéciaux les plus dingues quoique ceux-ci ne soient pas aussi pauvres que cela Avec, en parallèle, le destin de Jésus rapporté dans les écritures . C est riche et ça nous requestionne sur le passage de vie de cet homme, avec son message , dans un monde où le matériel prend le pas sur l'humain Bien sur, cela reste un monument du genre péplum des années 60, avec un combat naval et la fameuse course de chars qu'il faut avoir vu une fois. Cependant c'est très long au début, idem à la fin, et dégoulinant de bon sentiment chrétien à la sauce Hollywood. Le "fils de Ur" est joué par l'athlétique Charlton Heston. Un marqueur de l'histoire du cinéma plus qu'un grand film indémodable. Bonne révision de l'environnement sociétal de la Judée au temps du Christ pour les petits-enfants! DVD vf octobre 1960 un film péplum à très grand spectacle avec pourtant un budget moyen à notre époque mais qui pour leur époque était important voir colossal. un film long très long qui pourrait être moins long si on supprimer les passages inutiles mais également les actes et entracte qui ne sert à rien il fait perdre presque une dizaine de minutes rien qu'à eux deux question acteur beaucoup d'actrices sont dans la surdose en effet certaines d'entre elles sur joue certaines scènes ce qui devient ridicule. un film trop basé sur les croyants et la religion ceux qui en est pénible surtout si vous n'êtes pas croyant. un divertissement bon mais pas exceptionnelle je ne comprend pas l'engouement autour de ce film. Interprétation De Charlton Heston excellente de haut niveaux. le film divertira un grand nombre mais rien de plus . Un des plus grands films de l'histoire du cinéma. Charlton Heston est magistral, et son duel épique avec Messala est inoubliable. Mention spéciale également pour Ester, incarnée par la belle Haya Harareet ! Ben Hur de William Wyler est il le meilleur peplum de tous les temps ? Sûrement... Tout fonctionne dans ce film, absolument tout. Eternel et intemporel. Bien meilleur que toute la ribambelle de peplums sortis dans les années 2010. Le scénario, la réalisation, le jeu des acteurs, la musique, les décors, les costumes, l'éclairage...sont de vraies réussites. A cette époque, pas d'effets spéciaux par ordinateur, donc tout semble bien plus réel et crédible que dans les films intégrants des effets spéciaux Hur mêle force et émotion, joie et tristesse, beauté et laideur, grandeur et ruine... Un film à voir absolument, au moins une fois dans sa vie ! "Ben-Hur", très grand classique du 7eme art. Film qui a remporté un grand nombre d'oscars, et qui est la preuve pure de l'évolution du cinéma. C'est un des péplums qui aura fait rêver lors de sa sortie des tas d'enfants et d'adultes fans d'aventures, et il nous séduit encore de nos jours pour toutes les scènes d'actions. Sûrement un des films les plus chers de l'histoire, entre les costumes et les décors antiques et l'inoubliable scène de la course de chars, oppressante et extrêmement bien filmée. Les certaines apparitions de Jésus dans le film, personnage dont on ne connait le visage, sont une preuve de génie. Les scènes qui se passent en mer sont aussi très divertissantes. Une super ambiance, une bonne musique de générique ainsi qu'un casting et un jeu d'acteurs dont on ne peut rien dire de négatif. Un film qui mérite entièrement son succès mondial et qui est juste parfait en tout point hormis quelques longueurs au début et personnellement, "Ben-Hur" ne dépasse pas "Les 10 commandements" au niveau scénaristique et aussi sur le fait de retracer à la perfection la vie d'un personnage biblique. Mais peut-être qu'au final, je ne fais rien d'autre que chercher la petite bête car c'est quand même un film génial et époustouflant. Je pense que même si "Ben-Hur" est un film long, on peut le comprendre et l'admirer dès l'âge de dix ans. L'ayant regardé dans mon enfance, je m'attendais à revoir un vrai péplum,c'est-à -dire historique, mais il n'en est rien puisqu'il s'agit surtout de religion tant Jésus est mêlé de cette façon. Il y a certes du grand spectacle malgré les longueurs, un bon jeu d'acteurs et une image de qualité ; je note cependant un anachronisme de taille [spoiler] Judas Ben Hur a un ami présenté comme étant "cheikh arabe", or à cette époque il n'y avait pas encore d'Arabes dans cette région. Récompensé par onze oscar, un péplum somptueux, spectaculaire et passionnant porté par un Charlton Heston grandiose. Pour moi sans aucun doute le plus beau film de l histoire du cinéma...on ne s ennuie pas une seule seconde....Charlton Heston a un charisme extraordinaire.....Le scénario est sublime....Un chef d'œuvre cette adaptation du roman culte "Ben-Hur a tale of christ" est un pur chef d'oeuvre le scénario j'ai kiffé surtout avec le fait que sa se passe au temps de jésus jésus lui meme est dans le film et la course de char entre messala et ben hur était épique je recommande ce film "Ben-Hur" ou "la vidéo du SAV de la papal's world compagny".Si ce film est beau et gigantesque 11 oscars tout de même, ma note tient essentiellement dans le discours sous-tendu derrière les images... C'est clair comme le sous-titre du roman dont ce film est tiré... Et c'est à vomir...Le pitch, Le gars qu'a fait Moïse il est pas mort quand il a découvert la terre promise à qui ? et il est allé s'y installer avec ses potes les romains sous un nom d'emprunt bien pourri Ben-Hur qui à peu de choses près veut dire je suis pas cisra mais j'aime bien la NRA. Il a un poto plutôt vénère du côté de l'ordre Melassa prononcer "non là !" qui pourrait se traduire par "Casta sans LBD"...Ben-Hur il est amoureux d'une de ses esclaves mais accepte de la laisser en épouser un autre parce que c'est pas lui qu'elle aime ce qui est plutôt metoo compatible, et ça c'est good. Friend-zoné, il lui reste plus qu'à s'occuper d'être encore une fois le sauveur de son peuple qu'il a aidé à traverser le désert dans l'épisode précédent...Du coup il se fait mal voir de son pote Méssa-ici-aussi qui pour se venger fait enfermer les parents de ben-hur et condamne ce dernier aux galères parce qu'il sait pas entretenir sa toiture ce qui est signe de décadence... En chemin il rencontre un Portugais Rhésus qui veut lui aussi faire sauveur du peuple mais il aura moins d'avenir que le Ben...Du coup aux galères, Ben-hur il se forge les bras et les pec' en faisant du bateau... et un jour qu'il se promène du côté de Rome, il sauve de la noyade un Consul qui l'adopte illico et en fait un romain comme son pote Méssa-ailleurs-tant-que-t'y-est. Du coup il retourne crâner en Judée avec son papa adoptif qu'est un pote à Ponce...Il retrouve Mézy-ça-aussi-si-t'as-la-place et le traite de clown parce qu'il fait du cirque. L'aut' il lui dit qu'il a rien compris parce qu'en fait il est pilote de char... Et donc ils font la course et ben-Hur qu'a fait l'entrainement Galère il gagne car il sait tenir les rênes... Et y rentre chez lui pour voir sa copine du début sa maman et sa soeur, qui avaient une poussé d’acné, guéries par de l'eau précieuse... celle qui qui coule des gars qu'on accroche aux clous au sommet du mont biaqtôle ou un truc comme ça .Bref il est heureux mais il s'ennuie ferme du coup il pense qu'il va construire une fusée pour aller sur une planète peuplée de singes... Le film épique du cinéma hollywoodien, multi récompense à Oscar, 11 statuettes avant que le record soit battu par Titanic avec ses 14 statuettes, dont meilleur film, réalisateur, acteur principal et secondaire compris, direction artistique, photographie, création de costume, effets visuels, montage, musique, mixage de son. Et autres récompenses reçues pour cette fresque monumentale judéo-romaine chrétienne d’une durée de 3h40, une semi-romance sur le personnage Judas de la famille juif Ben Hur de Judée, en pleine apogée expansionniste du plus grand existant dans l’antiquité. L’empire impérialiste Romain s’étendant de l’Europe jusqu’au Moyen-Orient au temps de l’an Zéro, avant et après Jésus-Christ, le messie fit des miracles que nous conte son co-religionnaire apatride Judas de Judée, accusé à tort d’avoir intenté à la vie du gouverneur de la province impérial Judéen. A cause d’une construction et des briques mal manipulées, par son ami d’enfance fidèle, retrouvailles si chaleureuses malheureusement de courte durée, Messala, l’intrigant général de cette romance philosophie politique antique juive et romain. Une production faramineuse propagandiste à l’image des 10 commandements, la Torah du judaïsme suivi de la Bible, le christianisme prend le chemin salutaire prophétique des galères pour l’esclave réduit Ben Hur, prisonnier politique ne peut que préparer sa vengeance contre l’injustice. En attendant, il galère pour trouver son bon maître romain qui lui donnera bénédiction, afin de retrouver sa liberté perdue par l’innocence acquittée pour fait d’armes en temps de navire de guerre antique, joué par l’interprète de la planète des Singes. Charlton Heston de Soleil Vert convaincant, l’acteur du théâtre Shakespearien américain, nous délivre une prestation fastueuse dans cette réalisation que nous met en scène la tragédie de l’antiquité, l’emprisonnement de toute une famille s’enchaîne dramatiquement. Au fil des connaissances médicales par la science, des maladies bactériennes affectent mères et sœurs, ce fut la lèpre, envoyées dans la vallée des lépreux et des femmes majoritairement , la miséricorde condition poussera l’émotion jusqu’à son paroxysme. Pendant cette durée du film, le spectacle garanti à l’hippodrome de Caesar III par sa musique récompensée romaine, des jeux spartiates que participera le héros juif contre son ex-ami officier militaire devenu traître ennemi opposition. Ce spectacle distrayant de l'antiquité, des arènes de combats de gladiateurs où il avait autant foule réjoui immémorial intemporel, pour se distraire de la réalité sociale romaine loi du talion, de l’esclavage, du sang et des morts. Par pure vengeance haine pour le sort réservé à sa famille miséreuse, le culte de ses scènes de course de chars à chevaux palpitants et haletants, novateurs, millimétrés, géniaux, très bien entraînés les chevaux arabesques. Au palais du Roi d’Antioche et de la Mésopotamie, la crucifixion pour en finir avec ce tableau cinéma monumental, exécuté par Rome, pas les chrétiens et leur religion du désert monothéiste, le challenge polythéiste mais l’ennemi en lui-même. Après avoir civilisé les barbares par sa politique empirique, l’empereur des népotes despotes marque l'histoire des religions qui deviendront destinées européennes antiques, la décadence et récupération des reste de chute des monuments romains 🏛italiens. Le fils du Dieu du ciel et roi des juifs Jesus et sa sainte mère Marie, fait des miracles et ses fidèles croyants lui accorderont volontiers le chef-d’œuvre, 4 étoiles critique suffira parce qu’on y croira fort aux miracles. Marcher sur l’eau, la transformer en vin, rendre à l’aveugle mendiant sa dignité, guérir des maux terrestres par le don divin, les lépreuses se convertiront, c’est sur et certain. Dans l'ensemble j'ai trouvé l'intrigue intéressante avec cette amitié trahie, ce duel à distance entre Judas et Messala qui se règle dans l'antre du Circus. Par contre, j'ai trouvé les vingts dernières minutes inintéressantes, très manichéennes et franchement pompeuses. De plus, certains éléments du film ne respectaient pas la réalité historique, je pense notamment aux costumes des légionnaires et surtout à leurs lances qui m'ont surtout fait penser à des rames tellement elles étaient grandes. Puis bon j'ai senti l'ombre d'Hollywood planait sur la production, et ce besoin d'en faire trop, surtout dans certains décors, ce qui m'a empêché d'apprécier ma période favorite à sa juste valeur. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
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